Marcus Garvey (1887-1940) should be acknowledged as a pioneer of social
entrepreneurship because he developed mission-driven businesses: social
enterprises long before the concept was even named. Garvey tied racial
justice theory to business and he did so with a deliberate plan to bring
social change within markets. In today’s world Garvey would be known as
a “social entrepreneur” and the movement as a “social enterprise” because
both were focused on creating socially conscious businesses, at a time in
US history when it was very dangerous to do so. Garvey’s sustained
critique of mainstream business makes it reasonable to suggest that the
ideas of Garveyism should be included in the study of business ethics.
 
Marcus Garvey (1887-1940) devrait être reconnu comme un pionnier de
l’entrepreneuriat social parce qu’il a développé des entreprises axées sur
leur mission : des entreprises sociales bien avant que le concept ne soit
même nommé. Garvey a lié la théorie de la justice raciale aux affaires et il
l’a fait avec un plan délibéré pour apporter un changement social au sein
des marchés. Dans le monde d’aujourd’hui, Garvey serait connu comme un
« entrepreneur social » et le mouvement comme une « entreprise sociale »
parce que tous deux étaient axés sur la création d’entreprises socialement
conscientes à un moment de l’histoire américaine où il était très dangereux
de le faire. C’est ce sur quoi porte l’entreprise sociale : prendre des risques
lorsque les entreprises et la société ne sont pas prêtes à le faire. Garvey était
un critique acerbe du racisme, de l’inégalité, de l’injustice et il a défié le
système capitaliste avec un modèle d’affaires coopératif. La Black Star Line,
une entreprise de transport coopératif, montre que Garvey et ses membres
étaient des activistes qui utilisaient les affaires comme moyen de se battre
pour la libération des Noirs. Cette étude s’appuie sur des centaines
d’entrevues menées auprès de groupes de discussion et d’entrevues
individuelles en Jamaïque, en Guyane et au Canada, et de nombreux sujets
qui ont de solides liens culturels avec les Antillais. Le garveyism a influencé
l’éthique des affaires parce que le mouvement enraciné dans des idées de
libération a marié la fierté raciale aux affaires dans le seul but de soulever
l’état lamentable des communautés noires de diaspora. La critique
soutenue de Garvey sur les affaires courantes est raisonnable pour suggérer
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que les idées du garveyism devraient être incluses dans l’étude de l’éthique
des affaires.
 
Marcus Garvey (1887-1940) debe ser reconocido como un pionero del
emprendimiento social porque desarrolló negocios impulsados por su
misión: empresas sociales mucho antes de que el concepto fuera nombrado.
Garvey ató la teoría de la justicia racial a los negocios y lo hizo con un plan
deliberado para traer el cambio social dentro de los mercados. En el mundo
de hoy, Garvey sería conocido como un “emprendedor social” y el
movimiento como una “empresa social” porque ambos se centraron en
crear empresas con conciencia social en un momento de la historia de los
EE. UU en el cual era muy peligroso hacerlo. De esto se trata la empresa
social: tomar riesgos cuando los negocios y la sociedad no están listos para
hacerlo. Garvey fue un crítico abierto del racismo, la desigualdad, la
injusticia y desafió al sistema capitalista con un modelo de negocio
cooperativo. Black Star Line, un negocio de envíos cooperativos, muestra
que Garvey y sus miembros eran activistas que usaban los negocios como
una forma de luchar por la liberación de los negros. Este estudio se basa en
cientos de entrevistas de grupos focales y entrevistas individuales en
Jamaica, Guyana y Canadá, y muchos de los temas tienen fuertes lazos
culturales antillanos. El garveyismo ha influido en la ética empresarial
porque el movimiento enraizado en las ideas de liberación casó el orgullo
racial con los negocios con el único propósito de elevar el estado
deprimente de las comunidades negras de la diáspora. La crítica sostenida
de Garvey sobre los negocios convencionales hace que sea razonable
sugerir que las ideas del garveyismo deberían incluirse en el estudio de la
ética empresarial.