The aftermath of the global financial crisis of 2007/2008, followed by threats of de-risking and issues surrounding correspondent banking, provide a convenient context for researchers and policy-makers to reconsider the role of the financial system in advancing growth and development in the Caribbean. This article reviews the literature on the link between finance and economic growth and development, and considers major constraints which hinder the ability of the sector to make a greater contribution to both. It then discusses possible solutions to constraints and de-risking, which are available to policy-makers to ensure that the sector makes an even greater contribution to Caribbean economic development.
 
La repercusión de la crisis financiera mundial de 2007/2008, seguida de amenazas de disminución de riesgos y problemas relacionados con la banca corresponsal, proporcionan un contexto conveniente para que los investigadores y los legisladores reconsideren el papel del sistema financiero en el avance del crecimiento y el desarrollo en el Caribe. Este artículo revisa la literatura sobre el vínculo entre las finanzas y el crecimiento económico y el desarrollo, y considera las principales limitaciones que obstaculizan la capacidad del sector para hacer una mayor contribución a ambas. A continuación, analiza las posibles soluciones a las limitaciones y el riesgo, que están disponibles para los responsables de las políticas para garantizar que el sector haga una contribución aún mayor al desarrollo económico del Caribe.
 
Les conséquences de la crise financière mondiale de 2007/2008, suivies des menaces de réduction des risques et des problèmes de correspondance bancaire, fournissent un contexte pratique aux chercheurs et aux décideurs pour reconsidérer le rôle du système financier dans la promotion de la croissance et du développement dans les Caraïbes. Cet article passe en revue la littérature sur le lien entre la finance et la croissance économique et le développement, et considère les contraintes majeures qui entravent la capacité du secteur à apporter une plus grande contribution à la fois. On discute ensuite des solutions possibles aux contraintes et à la réduction des risques, qui sont à disposition des décideurs politiques pour s’assurer que le secteur contribue encore plus au développement économique des Caraïbes.