Political racialization has shaped the route to political power in Guyana
from the mid-1950s, cementing ethnic insecurity and patronage politics.
The 22-year rule of the East Indian-dominated party is threatened by
disaffection with corruption and by emigration of its ethnic base. A socalled
REDD agreement with Norway in 2009 provides international
legitimation and funding to win over indigenous Amerindian voters.
REDD illustrates how dispensation of international aid, without robust
checks and balances, can maintain and extend entrenched power. The
Government enlists the discourse of REDD to advance its project of
maintaining networks of power and privilege.
 
La racialización política ha determinado la ruta del poder política
en Guyana a partir de mediados de la década de 1950, al cementar
la inseguridad étnica y la política de patronazgo. El gobierno de 22
años del partido primordialmente hindú se ve amenazado por el
descontento frente la corrupción y la emigración de su base étnica.
Un convenio llamado REDD con Noruega en 2009 proporciona la
legitimación y el financiamiento internacional para ganarse los
votantes amerindios indígenas. REDD demuestra cómo la distribución
de la ayuda internacional, sin cheques y balances robustos,
puede mantener y ampliar el poder arraigado. El gobierno se apoya
en el discurso de REDD para avanzar en su proyecto de mantener
redes de poder y privilegio.
 
La racialisation politique a formé la voie qui mène au pouvoir
politique en Guyane depuis le milieu des années 1950, en renforçant
l’insécurité ethnique et le favoritisme politique. Le règne de 22 ans
du parti dominé par les Indiens est menacé par la désaffection
combinée avec la corruption et par l’émigration de sa base ethnique.
Un soi-disant accord REDD avec la Norvège en 2009 fournit de la
légitimation et du financement internationaux pour rallier les
électeurs autochtones amérindiens. Le programme de la REDD
illustre comment la distribution de l’aide internationale, sans
chèques et soldes robustes, peut maintenir et prolonger le pouvoir
établi. Le Gouvernement emploie le discours de la REDD pour faire
avancer son projet de maintenir les réseaux de pouvoir et de
privilège.