This paper uses Labour Force Survey data from 2001 and 2005 to examine
ethnic pay disparities in Belize. Empirical findings suggest that, the
majority ethnic group, Mestizo, earned, on average, statistically less than
the Creole, Garifuna and Mixed groups in both years. Most of the pay
differential was attributable to endowment rather than treatment
differentials. An important policy issue uncovered here relates to the
labour market position of the minority Maya group. Our estimates suggest
that this group’s ceteris paribus disadvantage, relative to national average
pay in Belize, widened from 18.2 percent below the average in 2001, to 27
percent below in 2005.
 
Este trabajo utiliza los datos de las Encuestas de la Población Activa
para los años 2001 y 2005 para examinar las disparidades salariales
atribuibles a la etnicidad en Belice. Los resultados empíricos
sugieren que el Mestizo, grupo mayoritario étnico, en un promedio
ganó estadísticamente menos que el Criollo, la Garífuna y los
grupos Mixtos en los dos años. Por la mayor parte, la disparidad
salarial fue atribuible a la diferencia de dotación y no de trato. Esto
revela una cuestión política significativa que tiene que ver con la
posición en el mercado de trabajo para el grupo Maya minoritario.
Según nuestros cálculos la desventaja ceteris paribus de este grupo,
en relación con el salario promedio nacional de Belice, expandió de
18,2 por ciento por debajo del promedio de 2001, a 27 por ciento en
2005.
 
Cette étude utilise les données de l’Enquête sur les Forces de Travail
de 2001 et 2005 pour examiner les écarts de rémunération entre les
ethnies au Belize. Les résultats empiriques suggèrent que le groupe
ethnique majoritaire, les Mestizos, avaient gagné, en moyenne,
statistiquement moins que les Créoles, les Garifunas et les groupes
Mixtes au cours des deux années. La plupart de l’écart de
rémunération est attribuable à la dotation plutôt qu’aux différences
de traitement. Une question importante de politique qui est exposée
ici se rapporte à la position sur le marché du travail du groupe
minoritaire Maya. Nos estimations suggèrent que le désavantage de
ce groupe, ceteris paribus, par rapport au salaire moyen national au
Belize, est passé de 18,2% à 27% inférieur à la moyenne au cours des
années 2001 à 2005.